C’est dans ce toute petite échoppe dans le vieux Delhi, tenu par la même famille depuis trois générations que je m’approvisionne. Les yeux artificiels, les loupes, les petits miroirs convexes faits sur commande, les chartes de lecture d’opticiens en hindi et d’autres langues viennent de leur arrière boutique et les stocks antédiluviens.
Ce même quartier fournit des matières premières en quantité, cuirs et peaux, produits chimiques, outils etcétéra.